Un gâteau aux framboises façon biscuit de Savoie avec un bon gout de citron. Recette facile et rapide
Temps de préparation :
Temps de cuisson :
Pour un moule à tarte de 25-30 cm, soit un gâteau pour 6 personnes
Ingrédients
150 g de farine
150 g de sucre
2 œufs
50 g de beurre
Le zeste d'un citron
100 g de framboises surgelées
1 pincée de sel
Sucre glace (facultatif)
Préparation
Préchauffer le four à 180° / thermostat 6.
Mélanger les œufs et le sucre puis battre au fouet jusqu'à ce que le mélange blanchisse et devienne mousseux. Incorporer la farine, le sel et le zeste de citron.
Beurrer le moule, y verser la préparation, répartir les framboises encore surgelées. Couper le beurre en fine lamelle et le répartir sur les framboises.
Enfourner à mi-hauteur et laisser cuire pendant 25 min. Une fois cuit, sortir le gâteau et le laisser refroidir.
Selon vos goûts, saupoudrer ou non de sucre glace.
Artiste que j'ai découvert récemment sur un vinyle en collaboration avec Rostam. Cette chanson ouvre son album précédent (Black Hours). Tout y est : la voix, l'instrumentation, la mélodie, les arrangements.
L'album – Black Hours – est à l'avenant. Il en est de même pour celui en collaboration avec Rostam I Had A Dream That You Were Mine.
Ce long week-end du 14 juillet je me suis remis à ... la 125 !
Petit essai du Honda 125 Shadow de mon beau-frère Pierre.
Le look est vraiment réussi. A l'instar des 125 Varadero, le 125 Shadow fait grosse moto. On est loin du look des 125 des années 80. Elle fait à peine plus petite que le 750 de la même série.
Question qualité, c'est une Honda et, en son temps, elle était la reine des customs de petite cylindrée. Celle-ci est de 1999 et le temps n'a pas laissé de trace. Les chromes et les peintures sont impeccables, même après plus de 15 ans. J'adore le look de ses belles jantes chromées à rayons.
La machine est vraiment sympa. On est bien assis sur la selle généreuse et confortable, les pieds en avant (un chouia trop pour un petit gabarit comme moi, mais sûrement parfait pour les 1m80 de mon beauf), les mains tombent naturellement sur le grand guidon où tout est à sa place. La clé de contact est sur le flanc gauche, petit clin d'oeil aux Harley.
J'ai pu l'essayer sur les routes viroleuses d'Evian les Bains. Bon, il faut garder à l'esprit que c'est un 125, mais le moteur est étonnant. Très souple, il est envoie bien entre 9000 et 11000 là où se trouvent le couple et la puissance maxi. Il prend facilement un 115-120 km/h et même plus bien lancé avec l'aide d'une légère descente ou d'un vent favorable.
Custom oblige, l'angle de chasse est allongé par rapport à une moto normale, ce qui apporte de la stabilité. A contrario, le rayon de braquage est un peu élevé, mais comme la machine est légère et qu'on a les pieds au sol, elle se laisse manœuvrer sans problème. Bref, tenue de cap et maniablité sont au rendez-vous et on se plait bien à la balancer d'un virage à l'autre sans appréhension aucune.
Question freinage, rien à redire, et question sensations, le petit twin envoie bien sitôt qu'on lui tire dessus, ce qu'il apprécie sans problème et sans aucun bruit mécanique suspect.
Comme quoi, on peut se faire plaisir avec une 125 !
Il est des fois où les rêves se réalisent deux fois ...
En mars 2007 je concrétisais un rêve : rouler en Ducati Superbike. A l'époque compte tenu du prix de ces machines, mon choix s'était porté sur une 996. Deux ans et demi après, je revendais la belle parce que bien trop chère à l'entretien (la fameuse histoire des basculeurs défectueux sur certaines 916, 996 ou même Monster S4). Tristesse ...
Ce défaut n'est pas présent sur les 998 qui ont un nouveau moteur estampillé Testastretta (traduction, tête étroite ou – plus mécaniquement – culasse étroite) issue de la 996 R. Il est bien plus fiable que le Desmoquattro.
Le temps passant, on trouve maintenant quelques 998 en bon état, à un prix (presque) raisonnable. Je surveillais donc les annonces de temps à autre.
Et pendant ce joli mois de mai, je trouve une superbe 998 sans trop de kilomètres et dont l'historique est connu. Mieux encore, il s'agit d'un modèle S de 2002 : 13 chevaux de plus et 11 Kg de moins que le modèle 998 standard et uniquement 37 vendues en France. Une machine plutôt rare donc.
Je contacte le vendeur et après plusieurs échanges, je me décide à condition qu'il baisse un peu le prix. Sa réponse me parvient quelques jours plus tard : il a un acheteur potentiel qui viendra la voir le week-end du 7 mai et qui est prêt à la payer le prix demandé. Je passe donc en second sur la liste d'attente. Ce n'est pas grave, si quelqu'un d'autre doit l'avoir c'est qu'elle ne m'est pas destinée ...
Je passe donc en mode "wait and see"... Quelques jours plus tard, je reçois un mail de Christophe : l'acheteur potentiel ne s'est même pas présenté. Je suis donc en haut de la liste !
Le 22 mai 2016, l'affaire est conclue et je récupère la belle dans la Manche.
Cette fois elle est rouge. Comparée à la 996, on notera que les ouïes de carénage ont disparues, rendant la ligne encore plus pure :
Celle-ci – modèle S oblige – est pleine de carbone : silencieux, garde boue arrière, panneau de radiateur, etc.
Au niveau moteur, le Testastretta gagne en fiabilité, en couple et puissance (136 ch. au lieu des 112 de la 996) mais surtout en souplesse. Là où la 996 cognait dur en dessous des 3000 tours, le Testastretta paraît presque onctueux.
Les différences majeures s'arrêtent là et le reste est l'avenant des ces fabuleuses machines d'un autre âge.
A l'heure où les missiles actuels atteignent les 200 chevaux, où le couple et la souplesse sont omniprésents et où les assistances sont de plus en plus nombreuses, sur le papier, ces Ducati peuvent paraître bien pâles.